elles sont contrôlées via un Arduino on peut facilement visualiser la détection via le traceur série de l’ide Arduino. J’ai ensuite branché en série les récepteurs. J’imprime maintenant un support en 3d afin de positionner chaque récepteur face a son émetteur. J’ai également été impressionné par la directivité de ce produit je dois en effet placer les émetteurs et récepteurs cote a cote.
L’action n’est pas immédiate, ça coute une blinde, il y a plein de subtilités pour l’installation et le ventilo fait un léger bruit …
A passé la journée d’hier au soleil pour faire dégazer le plastique (il parait que l’odeur du plastique est un répulsif pour les moustiques … ) et branché le soir; je vous tiens au courant si ça marche
Aprés 24h test feuille A4: 7 gros moustiques et parmi les « moucherons » on dirait pas mal de petits moustiques ??? pas trés sélectif mais les oiseaux ont qu’a les bouffer
Test A4: on met le filet de récupération au congélateur 2 h et on verse le contenu sur une feuille A4 … moins sophistiqué que le super compteur à barriére optique
Je vais tester la production de CO2 -il parrait qu’on en manque …- avec de la levure ou du bicarbonate à proximité du piége pour augmenter son efficacité …
J’ai eu une idée de piége à moustique: un blender avec un fond d’eau dedans où les moustiques viennent pondre + une minuterie qui le démarre 1 à 2 fois par jour pour pulvériser les larves
Bonjour,
Je lutte contre l’invasion des moustiques depuis 3 ans.
Comme beaucoup j’ai choisi la construction DIY, vu le prix des pièges du commerce.
Mes premiers essais ont été faits avec un piège quasiment identique à celui présenté dans la vidéo, caisse plastique, clapet et filet Biogents, qui attrapait entre 50 et 100 moustiques par jour (nous sommes très infestés dans le nord Médoc).
Malgré ce score, nous étions quand même piqués, nous n’avons pas vu la différence avec ou sans piège.
A l’évidence, il faut plusieurs pièges, un minimum est de 3 pièges placés à au moins 10m du lieu de vie, dans la végétation où les moustiques se reposent quand ils ne cherchent pas une proie.
Le placement judicieux de 3 pièges a considérablement fait chuter le nombre des moustiques, prendre l’apéro dehors est devenu alors possible.
Etant donné que les pièges sont éloignés de la maison, j’ai décidé de les alimenter sur batterie.
La consommation du piège est de l’ordre de 5Wh avec une batterie constituée de 8 cellules Li-Ion 4S2P dont la capacité est de l’ordre de 50Wh.
Cela ne permet pas de fonctionner durant la période utile soit de 10h à 23h, il faut donc ajouter un petit panneau solaire de 30 à 50Wc.
La tension fournie par le panneau est parfaite pour charger la batterie, si celle-ci est équipée d’un BMS de qualité, il n’est point besoin d’un chargeur et le panneau solaire peut être connecté directement, une diode schottky évite la décharge la nuit…
En été, ce système permet une autonomie totale s’il y a un minimum d’ensoleillement.
Une autre solution consiste à utiliser des batterie LIDL de 20V 4Ah, mais il faut un convertisseur élévateur pour utiliser le panneau solaire.
Toutefois la batterie peut « tenir » environ 16h.
Pour le moustique tigre, il n’est pas nécessaire de faire fonctionner les pièges la nuit, on peut les stopper vers 23h ou même tout simplement à la tombée de la nuit, c’est facile, il suffit de placer un relais directement à la sortie du panneau solaire et d’utiliser un contact pour commander le piège.
Perso, j’ai une petite carte à µP avec qui programme le fonctionnement horaire des pièges en fonction également de la température.
Mes pièges sont un peu simplifiés, par l’utilisation de deux tuyaux concentriques, l’appât est placé au dessus du clapet et un point chaud est placé à l’entrée, les moustiques se dirigent à la chaleur en attaque finale.
M’écrire pour de plus amples renseignements.
Cdt,
Gérard
Bonjour,
La production de CO² avec la méthode chimique ne marche pas, la quantité de gaz produite est bien trop faible, la première voiture qui passe dans la rue en produit 100 fois plus.
Il ne faut pas espérer diminuer l’invasion des moustiques avec un seul piège, même s’il diffuse du CO².
La vraie solution est de multiplier les pièges, et surtout de les placer là où ils doivent être, c’est à dire là où les moustiques se reposent, dans la végétation, à l’ombre, au frais et sans vent et au moins à 10m du lieu de vie.
L’idéal est de protéger au moins 3 directions, donc 3 pièges est un minimum.
Ne pas oublier les pièges à larves qui permettent d’évaluer l’infestation.
Un bon piège bien placé doit capturer entre 50 et 100 moustiques par jour, au minimum, davantage après la pluie.
La lutte contre les moustiques coûte très cher si on achète les produits du commerce et le résultat n’est pas toujours au rendez-vous, consultez les avis clients…
Il est toutefois possible de fabriquer soi-même, y compris les attractifs, de nombreuses vidéos donnent des solutions, voir celles de Papouche par exemple.
