@manon Sinon désolé, ça commence à ressembler à du spam.
Le plus important quand on veut se mettre au vélo, c’est de choisir le bon vélo.
Celui où on est bien dessus, et ça passe donc par monter dessus avant de l’acheter et faire quelques tours de roue… sinon c’est un risque de se retrouver avec des douleurs dans le dos au bout de 2km et laisser le vélo dans la cave ensuite. Au pire si tu te rendais compte que finalement tu n’étais pas confortable, il faut pas hésiter à retourner au magasin pour adapter la position (régler la selle avant/arrière, changer la potence/cintre etc).
Si tu as le dos ne serait-ce qu’un peu courbé en l’essayant c’est très mauvais signe. Conseil de base, il faut aussi mettre l’avant du pied sur les pédales et non le talon.
Ensuite les premiers temps, tu auras forcément quelques douleurs/courbatures, perso j’ai repris le vélo après 15 ans de clope et j’ai été surpris d’avoir des courbatures surtout dans les épaules au début. Idem au niveau du cardio/souffle, ça s’arrange au fil du temps (je dis ça en pensant à la côte de Chateaugay).
Pour la partie électrique, il y a aussi une petite habitude à prendre pour être à l’aise avec l’assistance, tu n’as plus de dérailleur avant mais à la place il faut un peu jouer avec les niveaux d’assistance et anticiper les freinages (et la coupure moteur) un peu plus en amont .
Ensuite comme déjà évoqué, pour le mal de fesse, le séant s’adapte très vite (moins de 2 semaines de pratique régulière) et là encore la selle est primordiale au confort, de mon expérience les selles très épaisses ne sont pas forcément les plus confortables, et des modèles dédiés à l’anatomie féminine existent ( je rentrerai pas dans les différences anatomiques et j’ai pas de modèle à proposer).
Enfin, l’entretien d’un vélo est assez régulier, et il faut bien penser à régulièrement faire la pression des pneus (avoir une pompe à pied), nettoyer et re-graisser la chaine (surtout par temps de pluie) et contrôler les serrages divers (avoir des clés 6pans). Parce que rouler sur un vélo qui ne tremble/grogne/couine pas est aussi une source de plaisir une fois sur l’engin (et de tranquillité d’esprit).
Pour le gros entretien (dévoiler les roues, régler le jeu de direction), tu as le choix d’aller en magasin, le faire toi-même (mais il faut un outillage assez varié) ou aller en atelier d’auto-réparation type « un guidon dans la tête ».
Du coup j’arrête là, sans évoquer les équipements qui participent grandement au confort aussi, sinon je vais y passer la journée. 
@gael : à 48v et plus de 250w, tu bascules dans la catégorie Cyclomoteur/speedelec (et moi dans le hors sujet), et c’est pas la même chanson. Certes tu peux aller jusqu’à 45km/h légalement, mais avant ça il faut immatriculer l’engin et le faire passer aux mines avec des critères d’acceptance comme : des boules au bout des leviers de freins (qui sont inversés) des feux aux normes mobylettes, un klaxon fixe électrique, une plaque d’immatriculation éclairée etc… Après homologation les pistes cyclables deviennent interdites, il faut rouler avec casque/gants/certificat d’assurance (là encore aux normes mobylettes). Bref c’est pas entièrement le paradis. Avec mon kit de 500w j’essaye d’y tendre histoire d’être le moins illégal possible mais rien que trouver des leviers de freins avec les petites boules au bout, c’est compliqué.
Tous les vélos électriques vendus en France sont sans accélérateur en 36v/250w/bridage à 25km/h pour cette raison. Quelques Speedelec sont en vente mais à des tarifs prohibitifs. (genre ça Turbo Vado 6.0 - Speed Pedelec | Specialized.com).